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Exposition de son égocentrisme d'adolescente!

20 novembre 2005

athipique

Nous n'étions pas une famille comme les autres, ça nous l'avions toujours su.

Cela nous avait tous un peu désorienter de nous retrouver ainsi, réunis comme les fois passées, presque solidaires...Presque ?

Oh non, nousl'étions vraiment, unis tous ensemble, la famille la plus étrange jamais vu...

Il y avait la première enfant, une peu triste, toujours plongée dans un verre d'alcool, ensuite, il y avait le garçon, le plus agée des deux garçons, prétencieux et sûr de lui, l'autre garçon, dont le sens de l'humour égayais toutes nos soirées et moi, l'artiste un peu en retrait...

La mère, et le père "l'unité parentale", eux, étaient sans doute plus bizarre que tous leurs enfants réunis...

La mère avait les eyux dans le vague, le père riait seul, trés fort...

Nous partagions un moment, où tous, dans  notré étrangetée, nous avons su nous aimer...

Oui, nous nous faisions remarquer partootu où nous allions, personen n'était véritablement calme dans cette famille, certains faisait semblant d'être posés.

Moi j'aimais cette famille, la famille athipique, l'anormale famille que nous formions.

"tous fous ici!"

claimait un des deux frères...

ET puis les blagues ont fusées.Et l'amour aussi...

On s'est couché à minuits, tous, pleins d'alcool, de rire, et de regret....

Le regret d'un famille, qui, il fut un temps, était soudée, et qui ne se voyaient plus que pour de grandes occasions, mais oubliait de s'aimer au quotidien...

Le regret de ces rires d'enfants, le regret de l'amour...Mais l'étrange famille sera éternelle, les soirs d'hivers, les soirs de Noël, oui l'étrange famille sera éternelle, tant que nous rierons, autour d'un verre d'alcool et d'une lueur infime soit-elle d'espoir...

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19 novembre 2005

oublié

C’était juste pour savoir, si tu m’oubliais…Si les traits de notre histoires s’étaient effacés, mais, moi je n’ai pas bougé, je suis toujours la même, si tu veux j’attendrais, que tu revienne….

C’était juste pour savoir, si ça allait, si ton rire est toujours noir, et tes yeux plissés mais, moi je vis encore, dans l’ombre d’un souvenir, celui de ton corps, de ton désir…

C’était juste pour savoir, si t’écrivais, tu en avais le savoir, et la volonté mais, moi je n’écris plus, je pense trop en ce moment, à ce que j’ai vécut, à d’autre instants….

C’était juste pour savoir, si tu pouvais, m’accorder un peu d ‘espoir pour continuer, mais, moi je me souviens, de nous deux cet été, quand tu prenais ma main, pour la caresser…

C’était juste pour savoir, si tu me quittais, si pour vivre il est trop tard, si le temps est passé mais, moi je ne changerais pas, moi je t’aimerais, qui à vivre de ça, je le ferais…

C’était juste pour parler, quelque instants, comprendre ce qu’il s’est passé, il y a longtemps, mais, peut-être était-ce seulement, que je t’aimais ? Qui sait…

Voilà j’ai finit ces mots, ils sont achevés, tu as eu un sourire faux, pour m’écouter mais, moi j’ai tout vidé, j’ai tout dit, c’est ainsi, que veux-tu ?

C’était juste pour partir, que je suis venue, tu m’as vue enfin m’ouvrir, pour ne me voir plus mais, je ne reviendras pas, j’ai fais le dernier pas, vers le passé…

C’était juste pour te voir, en vérité, ton avis sur notre histoire n’a pas importé, mais, j’ai comprit mon amant, que la vie et le temps, t’on effacé…

19 novembre 2005

l'étique

  La violence...Je la sentais bouillir en moi, c'était comme une force qui me prenais, aussi puissante que l'amour. Peut-être étais-ce de l'amour? L'amour du sang...

"c'est juste une question d'étique" a-t-il dit "Il faut tendre la joue, et éviter le sang, question d'étique, tout simplement"

En le voyant ainsi, m'expliquer ses principes prétencieux, je comprenais que j'étais capable de tuer un homme, sans remords, que j'en étais capable, que tuer, faisait partie de moi, j'étais un prédateur, un prédateur humain...

J'aurais pu le détruire, aggriper sa tête et la projeter sur un mur, pour qu'elle s'éclate, j'aurais aimé voir sa cervelle s'étaler pitoyablement sur le sol sale de la rue froide. Se battre en hivers aurait été douloureux.

"tu vois, certains sont violents, comme toi, et d'autre se contrôle, comme moi..."

Aurait-il pu contrôler la perte de ses tripes par ma lame éguisée? J'avais été la timide enfant, qui ne parle pas, et qui s'éfface, et par lui suite, j'aavis éffaçé ceux qui parlaient trop. Un coup nette sur leurs crâne d'attardés, un coup simple, rapide, et je me mettais à rire, comme une attraction de foire.

Mais aujourd'hui il faisait trop froide pour tuer. Je n'aime pas tuer l'hivers, ça manque de classe. Il me faut tuer au printemps, quand l'espoire de la vie revient. Là, c'est un instant superbe. Il faut que j'allie la nature à la mort, pour que mon oeuvre soit complète.

Oui je le sais, je peux tuer. Ce n'est pas dur au fond.

"on se revoit lundi!"

Non, lundi il fera froid.

Je serais enfermée dans ma chambre, à écouter un morceau de Chostakovitch, en savoruant un capuccino et une cigarette anglaise, je regarderais la pluie recouvrir le sol et je sourierais.

Lundi, non...

Je ne tue pas en hivers, c'est une question d'étique, tout simplement.

19 novembre 2005

LES PAS

J'avais entendu ses pas, je les aurais reconnus, entre mille...

Milles pas d'hommes à ma fenêtre, dans des chaussures différentes, portées par des pieds différents, et de tous ces pas étranges, j'avais reconnus le son des siens.

Peut-être avais-je tout simplement imaginé? J'ai tourné la tête, dans tous les sens, dans des mouvements presque ralentis...

Et personne, le vide. Le vide humain, le vide du coeur et de l'espoire. Tant pis aprés tout, il m'avait semblé ensuite, le voir, dans l'encadrement de la porte, une porte en bois, affreuse, qui selon moi, aurait eu besoin d'un coup de peinture. Je l'avais vu là un millier de fois. C'est plutôt comique quand on y réfléchit, la solitude m'avait omnubilé, je ne pouvais que croire la présence, et non la ressentir.

J'ai toujours eu les yeux dans l'infini, fixant un point inexistant, à présent je pouvait fixer un être inexistant, c'était bien plus intéréssant. Entendre les pas d'un homme, qui ne viendrait jamais.

Qu'est ce que c'était monotone l'automne sans hommes!

Presque triste...Mais je n'étais pas quelqu'un de triste, sauf peut-être, quand je me rendais compte...

Que tous ça n'était qu'un rêve de plus, et les pas, et le corps, que sans doute, moi même, je n'étais qu'un rêve, il me fallait dormir pour vivre enfin...Dormir...Car enfermée dans la vie, je ne pouvais rêver. Les choses sont si simples, quand elles sont fantasmatiques, mes malheurs étaient agréables, je pouvais m'y contempler, lorsque je les apportais.

Quelle étrange manière d'être n'est-ce pas? Oui, vous trouvez ça étrange vous,qui vivez, loin du sombre cercle qu'est la douleur d'être. Si je m'étais aimée, une fois, une simple et unique fois, je n'aurais pas connu les rêves.

Je sombre...non, je tombe...Non, pardon, je crois que je vole...Oui je vole, il faut que je décolle...

Est-ce une lumière? Je vole...Je la rejoints...Attends moi! lumière! attends moi! Mon bras me fais mal, oui, c'est le sang, toujours ce sang, qui me racroche à la vie, le sang est la clef du réel, quand il coule, on sent la vie couler avec lui...Elle coule tant sur mon tapis blanc. Je vole lumière, à tes côtés...

NON.

                                     Le noir.

6 novembre 2005

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                         Tant qu'y a d'la plume...

230257908

Y A DL'ESPOIR !!!

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18 septembre 2005

à tes éclats de rires

A nos éclats de rires, et à cette tendresse cachée....

Pour tous ces moments où on s'aime sans se le dire, ou on ris sans artifice, pour tous ces instants ou tu me manque, et ou tu es le seul à pouvoir comprendre...Je me sers de mots maladroitement aujourd'hui, je suis désolée, pourtant tu aime ce que j'écris mais...

dscn1426

Encore un beau moment avec toi, encore et encore...ca en devient presque lassant!

Tu m'avais véritablement manqué petit homme...

         Nia nia nia "ça aurait été mieux sans le "petit" marion!!!"

dscn1431je t'aime, de tout mon coeur, je t'aime je t'aime!!!! ouwa, ça fais trop d'un coup...Bisoux pt'it romain, à la prochaine sortit ou tu me fera subir le pire des calvaire!!!!

1 septembre 2005

nuit blanche

et voilà, encore une...

Je me souviens de mes nuits blanches.... marion

Il y avait celles, de Magalie, où nous passions notre temps à parler ensemble, à rire, à se photographier, à débattre de choses et d'autres...J'ai eu beaucoups de levé de soleil avec elle....

Il y a aussi, celles ou je réfléchissait à la mort, longuement, ou j'avais peur de m'éteindre d'un moment à l'autre, comme si la vie était si fragile, et mon corps si frèlle, qu'elle pouvait s'en aller, ainsi, burtalement...Longues et nombreuses furent ces nuits ou j'ai cru partir...Oui je me souviens parfaitements de ces nuits là....

amour1

Mes nuits d'amour également, ou le temps ne comptait plus, des nuits agitées, comme tout le monde les connaits, mais je ne me souviens pas de ces nuits là, ou peut-être, plutôt, que je ne veux pas m'en souvenir...

Ces nuits là ne me manquents pas.

Mes fêtes...Ou j'ai rits et but, découvrant comme chaque adolescent, les affres de la boisson, les excés, les amitiés...

Par la suite, on en ressors des anecdotes, mais aucune pronfondeur. f_te_musik1 Des fêtes sans dormir, tout le monde les connait...Ces nuits là ne sont pas mes favorites....Je n'en tire, que quelques blagues et souvenirs sans grand intéret, mais sans doute, en ais-je tiré des gens?

Les douces nuits d'écriture...Celles ci, je les chéries! Ces nuits ou je me plonge dans Baudelaire, et par la suite, je laisse les mots m'envahire, me contrôler, et parfois je joue avec eux, et nous riont bien plus ensemble, que durant mes nuits de débauche...Ecrire, comme c'était bon! pas doux, pas agréable et pas fort, c'était tout ça à la fois....

Carine, mes premières nuits blanches, romain, nos rires ect....

Et puis...Il y a d'autres nuits blanches, des nuits bien plus forte, dur, et puissantes que toutes les autres...Mais des nuits envahissantes et interminables, des nuits ou je ne peux ni écrire, ni rire, ni parler, des nuits ou je ne fais que penser...A Lui.

Ces nuits là sont miennes en ce moment. beubiParceque je le vois, et que je me projette, en train de lui parler, je me vois faire toutes sortes de choses, que je ne pourrais réaliser, que dans un trop long moment. Et j'ai bien peur que ces nuits persistes jusqu'à ce que je le revois....

Encore une donc...Une nuit blanche parmis tant d'autre...

Je préfère dormir, alors que la vie passe, dans ses bras, plutôt que de voir passer ma vie, loin de lui...

Encore une...Oui j'en ai peur.

22 août 2005

Il n'y a pas d'autre besoin que celui des

miki          Il n'y a pas d'autre besoin que celui des images...

Peut-être un ou deux mots...

                                          Mais si peu....

                                                              Les mots sont dérisoires, les mots sont inutiles....

                   "Aprécies le silence............................."

projet

18 août 2005

De tout temps, je me souviens avoir écrit. Chaque

De tout temps, je me souviens avoir écrit.

Chaque jour les mots m'envoutaient de leur force.

Je les laissaient diriger les pas de ma vie,

Autour d'eux s'est formée mon écorse.

Je respirais au travers des poèmes,

Je dormais dans les draps de mes muses,

je dansais sur les airs de la bohème,

et jamais, les mots ne s'usent.

Pour comprendre les choses, je me servais d'eux, dans les vers ou la prose, riants ou bien haineux :

Ils étaient sentiments, ils étaient description,

Ils étaient ce tout, et ma formation,

Ils trouvaient toujours à m'utiliser,

Pour mes rêves de jour, ou encore mon passé...

Mais aujourd'hui je ne sais plus,

les mots battuts par mon vécu,

s'en sont allés sans un Adieu,

Et je ne peux même décrire vos yeux....

Ils sont pourtants gravés dans mon esprit,

mais ne viennent pas sur le papier,

Je peux les voirs dans toutes mes nuits,

Mais je ne saurais en parler...

La vie veut-elle donc ma souffrance?

Ou dois-je juste vous garder en moi?

Car maintenant ma seule délivrance,

Je le sais bien amour, ce sera toi. photo_005

4 août 2005

ciel et terre

La nuit noire et glacée, projetait ses rêves sur les notres. 

T ' en rappelles-tu? Je t'ai prit la main ce soir là, j'ai voulu t'entraîner pour danser avec moi, pour toucher de nos mains trop humaine les étoiles, tu en a attrapé une avec ton âme, pour la déposer dans mes yeux...Et puis, par respect pour le ciel, nous l'avons rendue.

Je voulais trouver la fin du ciel, sans pour autant espérer trouver la fin de la nuit...Non, mon doux, nous ne voulions point que la nuit s'achève, nous voulions la comprendre, si belle et intouchable nuit aux étoiles crystalines....

Nous avons courut, nos mains se tenant toujours, courut aprés le ciel, pour lui trouver un sens, et puis, tu as cessé ma course...

"nous ne trouverons pas, ma belle, nous ne trouverons jamais...Car derrière le ciel, il y aura encore d'autre visages, sans doute même d'autres étoiles...Viens, le vide t'écoutes..."

"brise le ciel pour moi, je t'en prix, prends cette hâche dont tu me parlais, éclate le en mille morceau, fais pleuvoir le ciel, pour moi..."

"mais il est déjà brisé, chère et tendre amie, il est déjà brisé..."

Allongés là, sur ce sol dur, nous l'avons contemplé, ce maître infini...Tes paroles d'espoir renfermaient une certaine amertume...Et enfin, lorsque nous sommes rentré, toujours tenants sous nos bras les rêves que nous avaient offert le tout, ce tout du ciel, j'ai posé ma tête contre ton torse, en souriant...Et voilà ce que tu m'as dit:

"nous allons passer nos éxistances à chercher l'inexistant...Nous allons user nos vies, à trouver un sens, à ce qui nous dépasse...Mais vois-tu, ce seras tellement beau...Plus beau encore que cette soirée de diament, plus encore que le ciel brisé sous nos pas, où que les étoiles dans nos yeux...Et lorsque viendras le temps pour nous, de quitter la terre, pour le rejoindre enfin, ce ciel bien trop beau, nous sourieront, car enfin, la réponse viendra, nous qui l'auront tant attendu, ma douce, nous sourieront..."

Et un jour, en lâchant ta main, je toucherais les étoiles, voilà une promesse que je t'ai faite, voilà quelque chose, qui, pour toi, se réalisera...Mais si je dois te parler, mon coeur ouvert à nos songes, mon coeur ouvert à toi, j'aimerais t'avouer...

Ce soir là dans tes bras, ce soir tout contre toi, sentant ton coeur battant pour l'infini de nos pupilles étoilées, nos rêves en communions, ô ce soir là, mon ami, je crois bien que j'ai enfin réussit...Ainsi logée entre ton âme, et ton sourir, mon doux, je l'ai fait : j'ai touché les étoiles....

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