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Exposition de son égocentrisme d'adolescente!
29 juillet 2005

et voilà

Et voilà, ça c'est passé ainsi...Une drôle de fin sans doute...

Sur le chemin nous menant à la fin de notre histoire, nous ne prononcions pas un mot, nous rappelant respectivement ces souvenirs étranges qui nous avaient formés...

Nous avions en tête, toutes ces mélodies sur lesquelles nous nous étions aimés, comme un vieux film trop repassés. Je portais cette si jolie robe noire, il aimait la taille qu'elle me faisait...Mais il avait toujorus aimé ma taille, au fond ce que je portais lui importait peu, il aiamit celle qui portais les vêtements, il se fichait bien des posséssions, tu moment qu'il me possédait...

Et puis voilà, nous sommes arrivés prés de l'arrêt de bus, une fin bien étrange pour une si belle histoire. Nous avons entrelaçé nos mains, et je penchais prés de lui, afin de bien sentir cette ultime étreinte qu'il m'offrait. Nous avons lachés ensemble, un soupir douceureux. Un sourir commun, deux larmes prète à couler de ses yeux, nous comprenions ensemble, cette phrase trop répété "il n'y aura pas de prochaine fois".

Il pleuvait, comme ce jour ensemble, ou nous avions dansé sous le ciel pleurant, chantant en coeur des paroles amoureuses. Mais cette fois-ci,il n'y eu pas de mot, uniquement des regards et des carresses qui voulaient dire beaucoup.

Et puis je suis partie, mon amour, je suis allée rejoindre cette nouvelles vie, où tu ne seras pas. La distance était courte lorsque je me suis arrêté prés d'un mur, t'observer m'aimer une dernière fois. Un geste au loin, me lançant un baiser, un regard triste , et sasn doute aussi un peu amer, et j'ai tourné le dos, faisant résonner le bruit de mes talons noir sur le sol. Mes talons! tu les détestait...Mais peu importe, je pourrais les porter à présent.

Voilà, il n'y a plus rien, pas de larmes, pas de bruit, rien...Peut-être à jamais, ce triste sourir que tu as laissé accroché à mes lèvres, ça s'est terminé ainsi, sur quelques notes de musique qui t'appartiendront toujours, et comme à chaque fois, sur la communions de nos rires. Comme à chaque fois mon âme, comme à chaque fois...

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Commentaires
T
ke te dire ke tu ne sache déja...bé déja ouah pour ton istoire une foi de plus el é magnifik kom tt ce ke tu écri, tt é bo kom tt ce ke tu touche...tu a de gde kalité ki fon ka coté t défo devienne minime, tu es magnifik tu es belle splendide intelligente remarkable parfaite en un mot...sache ke je seré tjr la mm si ce ne sont ke d parole ki senvole avec tt le reste mé pourtan el sont rpésente é le resteront oci lgtps ke je le pouré...je te fé dénorme bisou ma tite puce et sache qq chose c ke je taime de tout mon coeur et ce pr tré rté lgtps...
T
Une drole de fin <br /> On ne peut pas posséder quelqu'un <br /> La personne que l'on aime et celle que l'on a aimé nous nous ont jamais appartenu, elles ont croisaient notre route pour un chemin plus ou moins long. Ce sont ces personnes qui ont laissé ces traces de pas sur le sable et que l'on observe nostalgique lorsque l'on se retourne pour regarder nostalgique notre passé. Elles continuent d'exister dans nos vies et dans nos coeurs par l'empreinte qu'elles y ont laissé. Mais meme si l'on se retourne pour contempler le passé , c'est vers l'avenir que l'on avance. Le présent c'est juste une négation d'existence entre les blocs du passé et ceux du futurs. <br /> <br /> Comme c'est étrange de constater que la couleur qui revient souvent pour terminer quelque chose c'est le Noir. Comme si tous ce qui finissait devait se terminer comme pour commencer à chaque fois un nouveau deuil. A croire que finalement que l'on ne commence quelque chose que pour attendre ce jour ou cela finira.<br /> <br /> Le Noir c'est la couleur du vide , c'est ce qui existe quand il n'existe plus rien , sinon l'immensité à rebatir. C'est ahurissant de penser qu'une toile à peindre puisse etre blanche comme le peut etre le papier sur lequel on deverse sa douleur quand on écrit un poeme. A bien y regarder il n'y a rien de plus noir et de plus vide. C'est là tous la force d'une vie humaine que de chaque fois recouvrir cette couleur , ou du moins du sens qu'elle incarne, par une multitude de nouvelles émotions, de nouvelles expérience. <br /> <br /> Rien n'est moins facile que de mettre un point final à un roman qu'on a écrit à deux mains , encore moins quand c'est le roman de sa vie, de celle dont on pensait qu'elle s'écrirait à jamais avec les deux meme sang. Mais c'est aussi l'occasion du renouveau c'est par là qu'il faut continuer d'avancer.<br /> <br /> Ce qui est étrange c'est que meme si c'est souvent de son propre chef que l'on choisit de mettre le mot fin au bas d'un manuscrit ,dont on sait pertinement qu'il aurait pu encore continuer sur des milliers de pages, on a toujours ce pincement au coeur. Celui qui interpelle sur le bien fondé de ses propres décisions: agit on toujours pour le meilleurs? Personne ne peut répondre à cette question. Le tout , et le plus difficile en somme , c'est toujours de devoir choisir. <br /> <br /> Voit ce qui viendra comme une chance de renouveau , ne peint pas la toile de ta vie avec du noir , au contraire donne à cette couleur un nouveau sens pour que change le code de tes couleurs. <br /> <br /> Quand le deuil sera passé , comme ton style le montrera dans tes écrits et dans tes reves n'oublies pas ce que tu as vécu et appuis toi dessus pour avancer et vivre mieux ce à coté de quoi beaucoup sont passé à coté <br /> <br /> C'est trés beau de pouvoir écrire avec tant de retenue et de pudeur les mots de la fin, et j'admires ceux et celles qui retiennent en eux meme la force d'un dernier instant.
Exposition de son égocentrisme d'adolescente!
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